Avenue des Canadiens : Différence entre versions

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Un hôpital militaire accueillant principalement des Canadiens blessés pendant la [[Grande Guerre]] y était installé.
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Un [[hôpital militaire]] accueillant principalement des Canadiens blessés pendant la [[Grande Guerre]] y était installé.
  
 
Composé de deux tronçons, le premier, situé le long de la limite de Paris avec Joinville-le-Pont et Saint-Maurice, entre l'[[avenue de Gravelle]] et le retour de la limite de Paris située à l'intersection de l'avenue des Canadiens avec la [[route de la Pyramide]] (bois de Vincennes), le deuxième, situé entre la rue du Maréchal Leclerc (Saint-Maurice) et l'avenue Saint-Maurice du Valais (Saint-Maurice).  
 
Composé de deux tronçons, le premier, situé le long de la limite de Paris avec Joinville-le-Pont et Saint-Maurice, entre l'[[avenue de Gravelle]] et le retour de la limite de Paris située à l'intersection de l'avenue des Canadiens avec la [[route de la Pyramide]] (bois de Vincennes), le deuxième, situé entre la rue du Maréchal Leclerc (Saint-Maurice) et l'avenue Saint-Maurice du Valais (Saint-Maurice).  

Version actuelle en date du 6 septembre 2015 à 16:48

L'avenue des Canadiens est une voie du 12e arrondissement de Paris, Picpus, c'est aussi une voie du bois de Vincennes.

Description

Un hôpital militaire accueillant principalement des Canadiens blessés pendant la Grande Guerre y était installé.

Composé de deux tronçons, le premier, situé le long de la limite de Paris avec Joinville-le-Pont et Saint-Maurice, entre l'avenue de Gravelle et le retour de la limite de Paris située à l'intersection de l'avenue des Canadiens avec la route de la Pyramide (bois de Vincennes), le deuxième, situé entre la rue du Maréchal Leclerc (Saint-Maurice) et l'avenue Saint-Maurice du Valais (Saint-Maurice).

Le premier tronçon, à l'origine sur les territoires de Joinville-le-Pont et de Saint-Maurice annexés à Paris par décret du 18 avril 1929, est situé dans le bois de Vincennes, les trottoirs, côté Saint-Maurice et Joinville, sont sur les territoires des dites communes. Une partie des trottoirs de la rive nord du second tronçon, dénommé Chemin des Corbeaux avant 1918, sont sur le territoire de Paris.

Voir aussi

Notes et références